Les vélos électriques envahissent nos rues et occupent désormais de plus en plus de place dans nos déplacements quotidiens.
Avant d’acheter un vélo à assistance électrique, il faut mettre le point sur certaines idées reçues qui pourraient être fausses et répondre à plusieurs questions.
Certains s’imaginent qu’un vélo électrique leur épargne le pédalage alors que ce n’est pas le cas.
Pour mettre en marche votre vélo à assistance électrique, il faut pédaler. Aussitôt que vous arrêtez de le faire, le vélo s’arrête. L’assistance vous aide simplement dans votre processus de pédalage pour aller plus vite.
Il faut savoir que la vitesse maximale d’un vélo électrique traditionnel est limitée à 25km/h et que le moteur ne fait qu’aider le cycliste à atteindre cette vitesse.
Par conséquent, le V.A.E conventionnel ne peut pas aller plus vite qu’une moto, enfin presque.
En effet, certain client de la marque power-e-bike y son presque arrivé grâce au kit de conversion !
Mais nous n’en parlerons pas ici, car on sort du domaine du vélo à assistance électrique.
Un vélo à assistance électrique ne demande ni carte grise ni assurance et d’ailleurs même le port du casque n’est pas obligatoire, quoique fortement recommandé par la grande majorité des autorités des différents pays européens.
Le kit de conversion rend certainement le vélo plus lourd mais le poids reste supportable car il est bien réparti sur l’ensemble du vélo. De plus, grâce aux nouvelles technologies le poids des moteurs et des batteries a progressivement diminué par rapport aux premières générations.
Il est à noter que le Vélo à Assistance électrique (VAE) constitue désormais un moyen de transport économique et efficace notamment pour les déplacements urbains.
